Éditions le livre de poche. 2017. 160 pages.

Résumé

Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l’ascension du flanc de la falaise. Lorsqu’elle arrive au sommet, un inconnu affublé d’un petit chapeau noir l’interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.
La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n’a-t-il pas sa contrepartie ?

Mon avis

Je continue avec #unprintempsavecking. Ce roman est très court mais largement suffisant pour suivre Gwendy dans sa vie avec sa boîte à boutons. Et quel boîte ! La tentation à l’état pur. Elle reste tout de même très bienveillante malgré le potentiel de cette boîte. Gwendy est une jeune fille comme les autres avec un poids en plus dans sa vie, mais n’est-ce pas le cas de tout le monde ? La tentation est partout ! 😱

Je ne sais pas toi mais quand j’ai lu le nom de Richard Farris, j’ai tout de suite pensé à Randall Flagg dans Le Fléau. Je pense vraiment que ces deux personnages ne font qu’un. L’allusion au chérif Bannerman de Dead Zone m’a fait sourire, ça me donne envie de le lire (encore un livre à me procurer 😉) et regarder de nouveau la série, pourquoi pas jusqu’à la fin pour le coup.

J’aime bien le prénom Gwendy et le compromis de ses parents pour ce choix (petite aparté qui n’a rien à voir 😊).

Conclusion

J’ai bien aimé cette lecture et le format court me convient parfaitement pour le moment. Quand je pense que j’ai Ça à lire, ça m’angoisse un peu mais je prendrai mon temps comme pour Le Fléau.

Ma boîte à boutons et moi on te souhaite une bonne lecture !